L'agence a mené deux études pour le compte d'Adoma, la première axée sur l'histoire et la valeur patrimoniale de l'édifice et la seconde sur la réhabilitation en logements de l'édifice.La seconde étude met en évidence la très forte contrainte de l'édifice construit avec des murs de 60 cm d'épaisseur. Les aménagements intérieurs sont, à quelques éléments près, identiques à ceux d'origine.La complexité vient de la création d'un ascenseur et de l’encloisonnement des cages d'escalier.Nos propositions tentent de conserver le caractère historique au bâtiment en ne modifiant que très peu son ossature constructive.Le projet pose des questions liées aux modes constructifs notamment sur les escaliers qui ne peuvent être réalisés suivant la même technique que celle employée pour les murs de façade.Les conditions de réalisation de l'étude furent rocambolesques du fait du squat du site. L'agence a même été prise en otage par les occupants lors d'une de nos visites.
L'agence a mené deux études pour le compte d'Adoma, la première axée sur l'histoire et la valeur patrimoniale de l'édifice et la seconde sur la réhabilitation en logements de l'édifice.La seconde étude met en évidence la très forte contrainte de l'édifice construit avec des murs de 60 cm d'épaisseur. Les aménagements intérieurs sont, à quelques éléments près, identiques à ceux d'origine.La complexité vient de la création d'un ascenseur et de l’encloisonnement des cages d'escalier.Nos propositions tentent de conserver le caractère historique au bâtiment en ne modifiant que très peu son ossature constructive.Le projet pose des questions liées aux modes constructifs notamment sur les escaliers qui ne peuvent être réalisés suivant la même technique que celle employée pour les murs de façade.Les conditions de réalisation de l'étude furent rocambolesques du fait du squat du site. L'agence a même été prise en otage par les occupants lors d'une de nos visites.
Crédits
Photographies : Pierre Marchand Architectes